Pointes sèches matures – 2016
Les vieilles
Ce qui rétrospectivement annonce la série «Berlin Alexanderplatz», était un triptyque à la pointe sèche.
C’est une recherche sur la tension entre portait et abstraction. Il s’agit de têtes et non de visages. On retrouve la menace, et la cruauté des formes (parfois géométriques) qui sévira dans «Berlin Alexanderplatz». Ce retour à l’anonymat et la perte d’individualité est un processus de disparition tel que l’entend Edgar Morin dans «L’Homme et la mort».
